Vérités urgentes à connaître

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Poissons (pêche).

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Les poissons ne sont pas des végétaux. Nous savons aujourd’hui qu’ils peuvent utiliser des outils (eau, sol, aquarium), reconnaître leurs congénères, ajuster leurs comportements face à différents individus (humains ou autres poissons) qu’ils ont des personnalités distinctes et des émotions. Ils ont une mémoire à long terme. Leur capacité à souffrir ne fait plus aucun doute. Les poissons gardés en captivités sont susceptibles de faire des dépressions.

La pêche est un loisir cruel. La bouche transpercée par un hameçon en métal tranchant, tirés hors de l’eau, pris de convulsions et se débattant dans un environnement qui ne leur permet pas de respirer, ils sont tués sur le coup, laissés de côté suffocants ou rejetés à la mer, traumatisés et parfois mortellement blessés, les poissons souffrent atrocement entre les mains des pêcheurs. Lorsqu’ils sont tirés hors de l’eau, les poissons commencent à suffoquer. Leurs branchies s’affaissent, leur vessie natatoire peut se déchirer à cause du brusque changement de pression. Cette expérience est réellement horrible pour les animaux, qui tout comme nous, ressentent la douleur. La durée de l’agonie varie selon les espèces, le traitement, mais aussi la température. Elle peut se prolonger de 25 minutes à 4 heures.

Anatomiquement, physiologiquement et biologiquement, le ressenti de la douleur est quasiment le même chez les poissons, les oiseaux et les mammifères. Des études ont démontré que les poissons qui sont attrapés puis relâchés souffrent d’un grave stress physiologique, à tel point qu’ils meurent souvent du choc. Les poissons avalent souvent les hameçons. Les pêcheurs essayent de leur retirer de la gorge en y mettant leurs doigts ou une pince, arrachant non seulement l’hameçon, mais aussi la gorge et les intestins des poissons en même temps. Lorsque les pêcheurs tiennent les poissons dans leurs mains, cela perturbe la couche protectrice présente sur leur corps. Tout cela les fragilise et en fait des cibles faciles pour les prédateurs, une fois qu’ils retournent dans l’eau.

Les victimes attrapées puis relâchées pourraient être plus vulnérables face aux prédateurs, incapables de fuir, ou incapables de repousser les attaques contre leur nid en période de nidification. Certains gardiens mâles peuvent en effet abandonner le nid.
Pour chaque livre de poisson capturée jusqu'à 5 livres de vie marine non intentionnelle également sont capturés, tués et rejetés. Les poissons piégés dans les filets ne peuvent pas se déplacer et la plupart sont tués soit par noyade ou par décompression, ce qui force leur estomac à sortir de leur bouche. Ils sont donc susceptibles de mourir écrasés dans des filets, par suffocation au contact de l’air ou bien disséqués vifs. Ils peuvent être rapidement réfrigérés alors même qu’ils suffoquent encore, un procédé qui peut à la fois accroître et prolonger leur souffrance.

Les filets de pêche rejetés, appelé aussi pêche fantôme représente 46 % du plastique qui se retrouve dans la mer. Ils piègent différentes formes de vie jusqu’à ce qu’elles meurent.

La pisciculture implique d'élever du poisson dans des réservoirs ou des enclos dans des concentrations extrêmement encombrées avec presque pas de place pour déplacer ce qui conduit à des blessures constantes et à la propagation facile de virus de bactéries et de parasites. Ils sont régulièrement nourris d’antibiotiques pour qu’ils restent envie le temps nécessaire. Avant qu’ils soient abattus, la plupart des espèces sont affamé pendant plusieurs jours afin que leur intestin soit vide pour en faciliter leurs nettoyages. Mise à part le tranchage, l’asphyxie, on tue, aussi, les poissons en les gazant au co2., en les frappant avec un bâton e bois ou de plastique, en les hors de l’eau avec un crochet et en faisant pénétrer leur cerveau d’un pique ou en les électrifiant et les laisser mourir dans leur sang pendant qu’ils sont encore conscient.

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