Si vous êtes d’avis qu’on ne doit pas torturer ou tuer un animal sans que cela soit nécessaire, vous êtes au bon endroit. Il serait dommage de ne pas prendre quelques instants pour connaître les rapports que nous, l'espèce humaine, avons avec les quelques autres millions d’espèces existantes.
Pour avoir une idées de ce que subissent les animaux de « consommation », je vous suggère de visionner ceci : .
Pour savoir pourquoi il est nécessaire de s'intéresser à ce que subissent les animaux de « consommation », je vous suggère de visionner ceci : (sous-titrage français disponible).
Pour connaître ma pensée en bref, veuillez lire mon très modeste plaidoyer ici : .
Si vous avez une raison de croire que les animaux de « consommation » ne méritent pas tant d'attention de votre part, vous pourrez probablement vérifier vos arguments et/ou vos intuitions ici : .
Il existe déjà plusieurs sites Web très instructifs sur la cause animalière. J'ai créé celui-ci afin de préciser quelques-uns de mes constats et de rassembler certaines idées sur le sujet dans un seul endroit pour en faciliter le partage.
Mon but n'est ni d'avoir raison, ni de faire la leçon, ni de me penser meilleur que quiconque. J'ai moi-même beaucoup à apprendre et à réfléchir, et j'accueille avec empressement toutes informations qui me rapprochent de la réalité.
Mon objectif est de faire connaître au plus grand nombre de personnes possible la réalité sur l'asservissement et la cruauté infligés aux animaux non-humains pour notre alimentation, nos vêtements et accessoires, les produits de bricolage, nos loisirs, nos divertissements, les tests de produits cosmétiques et de médicaments, etc.
Il n'est pas question d'opinions, mais de faits reconnaissables par tous. Il est plus qu'urgent que nous réfléchissions sur la justification de certains de nos comportements pour arrêter, dans la mesure du possible et le plus tôt possible, le rôle de tortionnaire que nous jouons au dépens de ces êtres sensibles, intelligents, conscients et qui, tout comme nous, veulent vivre.
Quelles sont les caractéristiques qu’ont ou n’ont pas les animaux non humains qui nous donnent à penser que nous pouvons moralement leur faire subir des traitements que nous ne ferions pas subir aux humains, comme les exploiter, les maltraiter et les tuer, par exemple, en payant pour des produits animaliers?
Vous vous sentez OFFENSÉS parce que nous vous informons des CRIMES CRUELS faits aux animaux? Nous ATTENDONS vos arguments. Si vous restez SILENCIEUX, nous considérons que vous n’avez pas reçu l’URGENTE information et il est de NOTRE DEVOIR de vous la soumettre à nouveau.
Dîtes-nous MERCI de considérer que vous avez la capacité de faire la connexion entre votre mode de vie de consommateurs et ce que subissent INUTILEMENT les animaux et de croire que VOUS NE DÉSIREZ PAS CONSCIEMENT TORTURER ces animaux.
Si c’était vous qui étiez martyrisés, ne voudriez-vous pas que nous agissions?
Questions, commentaires, suggestions, ajouts, oublis, corrections, liens morts, erreurs de factualité? Vous êtes bienvenus de me contacter en sélectionnant .
VA (veganimaliste.com)
Pourquoi Être Végane.
Dans bien des situations, il ne faut malheureusement pas parler, entre autres, de religion, de politique ou de cultures étrangères, mais le VEGANISME () ne devrait pas être soumis à cette censure parce que les animaux (êtres sensibles qui respirent, ressentent et souffrent tout comme vous et moi parce qu'il ont un système nerveux et un cerveau), malgré leurs cris, tremblements, contorsions, maladies physiques et psychologiques et tentatives évidentes d’éviter la douleur, ne réussissent pas à se faire entendre.
Bien sûr, il y a plein d’autres problèmes dans le monde, mais avoir de la compassion pour les animaux ne vous empêche pas d'en avoir pour les humains. Il faut, toutefois, noter que la maltraitance animale est le plus grand et le plus abominable crime de toute l’histoire de l’humanité. Si vous en doutez, demandez à quelqu'un de vous arracher la peau du corps (vivant) comme c'est souvent le cas pour la fourrure, le cuir, le duvet, etc.
Je suis végane parce que je suis contre la maltraitance faite aux animaux. Le véganisme est une façon de vivre qui exclut, dans la mesure du possible, toutes formes d’exploitation des animaux et NON PAS un régime alimentaire, une mode, une religion, un mouvement d’illuminés extrémistes, etc. C’est en apprenant ce que subissaient réellement les animaux (gardé secret par les industries laitières, de la viande, des œufs, de la fourrure, etc.), que je me suis rendu compte que nous ne connaissions pas cette épouvantable réalité dans toute son amplitude (DOMINION) et qu’il fallait que je fasse quelque chose pour la libération et les droits des animaux.
Je parle pour les animaux de la même façon que vous aimeriez que je parle pour vous, si vous étiez dans leur position. Si on vous mettait dans un bassin d'eau bouillante (homards, chiens...), préféreriez-vous que j’opte pour une approche lente et basée sur la douceur ou une approche directe qui décrit clairement ce que vous subissez?
Il semble que, pour une grande majorité de personnes, ce n'est jamais le bon moment pour parler de ce que nous faisons subir aux animaux. Pourtant, il est urgent que la vérité soit dite et mon but n’est pas de vous faire sentir coupable, mais de vous ouvrir les yeux sur l’horreur des comportements appris depuis l'enfance, afin que vous puissiez les changer. Je suis en colère, oui, comme vous devriez l’être en sachant ce qu’on fait subir aux animaux.
Une transition lente au véganisme est aussi inacceptable que si quelqu’un disait qu’il abuse juste un peu des enfants, le vendredi, qu’il est en transition et qu’il y va à son rythme ou que c’est son choix d’abuser des enfants. Il n’y a pas d’entre deux ni de zone grise. Une personne qui est contre toutes formes d’abus faites aux enfants n’est pas extrémiste et c’est pareil pour les animaux.
Mon but n’est pas non plus d’être aimé, mais d’aider les animaux et je ne vais pas adoucir mes propos, parce que pendant que nous tournons autour du pot, des animaux vivent d’indicibles tortures.
Ce qui est important, c’est la vérité. Comment peut-on se regarder dans le miroir, en sachant qu’on participe à de telles cruautés? Il faut aussi savoir qu’il est impossible d’avoir le moindre élevage éthique et que les étiquettes « Bio, En liberté, Locale, etc. », ne servent qu’à donner bonne conscience aux consommateurs. Les élevages dits « éthiques » peuvent même générer des souffrances accrues parce que, par exemple, on n’utilise pas d’anesthésie pour soigner les animaux.
Le véganisme est une question de justice et non d’amour. Nous n’avons pas besoin d’aimer les enfants pour ne pas en abuser comme nous n'avons pas besoin d'aimer les animaux pour ne pas en abuser.
J’imagine que vous ne voulez pas maltraiter des animaux. Alors pourquoi n’accorderiez-vous pas vos actions avec vos valeurs?
Si vous consommez des produits d'origine animale pour votre alimentation, vos divertissements, votre habillement, etc., ou des produits testés sur les animaux, vous êtes directement responsables de la torture que subissent ces individus et vous seriez hypocrites de dire que vous aimez les animaux ou que vous êtes contre la maltraitance faite envers eux.
Maintenant que vous savez, allez-vous continuer à abuser des animaux?
Il n’est pas question de perfection, mais de volonté. Étant dans un monde non végane, il est impossible que nos actions le soient à 100%, mais cela ne doit pas servir d’excuse pour ne pas être vigilant.
Il ne faut pas non plus attendre que les gouvernements, les industries, les épiceries, etc. agissent. L’esclavage a toujours été une aberration, même quand il était légal et perçu comme nécessaire et c'est pareil pour les animaux. Comme chaque affranchissement d’esclave est important, chaque geste pour les animaux compte et un jour, nous serons consternés d’apprendre ce que nous faisions subir inutilement aux animaux.
Voici deux exemples (partiels) de pratiques qualifiées d’éthiques, et qui sont la norme
Comme dans tous les élevages, peu importe l’étiquette (industriels, intensifs, en plein air [L’élevage en plein air ne signifie pas que l’animal va au pâturage ou mange de l’herbe fraîche], bio, local, etc.), il n’y a aucune façon d’obtenir des produits animaliers qui ne causent pas de souffrance chez ces animaux parce que c’est la rentabilité qui prévaut, bien avant le respect des animaux. Et, contrairement à ce que la publicité nous montre, les conditions dans lesquelles ces êtres sensibles passent leur vie est d’une cruauté inouïe.
De la vache au veau (produits laitiers, viande, etc.)
Pour produire du lait, les vaches, qui ont la capacité de ressentir des émotions complexes, sont violées (inséminées de force) annuellement et sont toujours maintenues enchaînées, même en période de gestation, ce qui leur est très pénible, tant physiquement que psychologiquement.
Description à venir...
Très tôt après la naissance de leur veau, les mamans se font voler leur enfant, ce qui leur cause, tout comme au veau, une très grande détresse psychologique. Les vaches et leur veau peuvent meugler pendant des jours, voire des semaines. Certaines vaches font même des dépressions, se laissent mourir de faim et cessent de meugler lorsqu'elles n'ont plus de voix. Si c'est un mâle, il est le plus souvent destiné à la production de viande de veau alors que la femelle, (appelée génisse) deviendra une vache laitière.
Malgré que ces animaux soient des êtres sociaux, les mâles sont confinés dans des logettes individuelles à peine plus grandes qu'eux, sous prétexte de comportements indésirables des animaux, mais on sait tous que c'est pour qu'ils ne bougent pas trop afin que leur chair soit tendre. Le confinement empêchant les veaux de satisfaire leur besoin de téter, on peut s’attendre à ce qu’ils développent des comportements compensatoires.
Le veau de lait est abattu alors qu'il a entre 18 et 20 semaines, encore plus tôt que le veau de grain, alors qu’un bovin peut vivre entre 20 et 25 années. Il est alimenté avec du lait en poudre et non pas avec le lait qui lui est biologiquement destiné (que sa mère produit pour lui, mais qui doit être vendu). Son alimentation pauvre en fer le maintient aux limites de l'anémie, afin que sa chair soit pâle et maigre.
Quand les vaches sont épuisées physiquement et moins productives après quatre à cinq ans, on les envoie au steak haché.
De la truie aux porcelets (bacon, jambon, saucisse, etc.)
Les cochons sont des animaux intelligents (plus que les chiens et certains primates), joueurs, qui courent, qui gambadent, qui ont des moeurs sociales et qui ont besoin de stimulation. Cependant, ils sont privés de tout ce qui leur est naturel.
Dans presque la totalité des cas, les cochons ne voient jamais le soleil et ne respirent jamais l'air frais. Ils vivent parqués et entassés dans de mornes enclos en béton ou dans des hangars surpeuplés dans un état d'hygiène déplorable : enclos crasseux et puants, accumulation de déjections, profusion de mouches, eau stagnante, animaux malades et des cadavres de cochons de tous âges, dont certains sont en état avancé de putréfaction, jonchent le sol parmi les animaux vivants.
Les truies, dont on a augmenté, par la génétique, le nombre de tétines, sont inséminées de force à répétition. Pendant et après leur accouchement, elles sont confinées dans des cages (pendant six à huit mois par année) de gestation si étroites que leur peau en est souvent meurtrie. Ne pouvant pratiquement pas bouger, elles ne peuvent pas se retourner vers leurs enfants, ni satisfaire leur instinct de nidification.
Elles donnent naissance à entre douze et trente porcelets par portée, au lieu de six à douze à l’état naturel. Avec trois portées par an, elles sont épuisées au bout de trois années et envoyées à l’abattoir.
Les pattes de porcelets naissants se coincent dans les fentes du caillebotis (sol ajouré). Beaucoup meurent à la naissance, parfois écrasés par leur mère.
Chaque portée de porcelets leur est arrachée après seulement quelques semaines puis envoyée dans des enclos d'engraissement. Ils grandissent plus vites avec trois fois moins de gras.
Le bruit, la chaleur et le manque d’espace conduisent souvent à des comportements agressifs (il y a souvent des cas de cannibalisme). Par conséquent, on coupe la queue des porcelets et on leur meule les dents sans anesthésie. On castre aussi les mâles sans anesthésie pour éviter que leur chair goûte l’urine. À l’âge de huit mois, les cochons, qui ont une espérance de vie de vingt-cinq ans, sont envoyés à l’abattoir.
Castration sans anesthésie
Durant de longs voyages, souffrant souvent de températures extrêmes, ils sont privés de nourriture, d'eau et de soins vétérinaires. Nombre d'entre eux tombent gravement malades ou meurent pendant le voyage. L’hiver, il y a toujours des porcs collés sur les côtés et les planchers des camions, alors on y va avec des fils de fer ou des couteaux et on découpe dans la chair pour les détacher. Des cochons morts ou mourants (mais toujours conscients), sont jetés par-dessus bord, sans ménagement.
Au final, les cochons sont dirigés dans des chambres à gaz (Co2) pour les rendre inconscients. Il est fréquent que les animaux se réveillent pendant la phase d’abattage.
Si vous êtes végane, je vous en prie, faites-vous entendre parce que pendant que nous restons discrets, silencieux, adeptes des « petits pas », des « chacun son choix », des « vivre et laisser vivre (pour les humains uniquement) », les animaux sont martyrisés. Si vous ne l’êtes pas encore, devenez-le !
Il n’est pas facile de dire la vérité aux gens de notre entourage et à toute personne que nous rencontrons ou croisons leur chemin, mais les animaux n’en valent-ils pas la peine? Quand vous hésitez, pensez aux animaux, ces victimes... En étant véganes, nous sauvons de nombreux animaux, mais il y en a tant d’autres qui sont torturés parce que nous avons peur de ne pas être gentils et de ne pas être appréciés par nos semblables.
Svp, agissez et parlez pour eux. En étant végane, vous ne faites que vous comporter comme tout le monde devrait le faire. C’est en parlant pour les animaux que vous agissez. Informez-vous sur les façons adaptées à votre personalité de faire de l'activisme.
Merci pour eux.
Voici des excuses couramment évoquées pour rester dans le déni
- Parce que ça goûte bon Voudrions-nous, en toute conscience, satisfaire certains plaisirs gustatifs qui sont directement responsables de la souffrance et la mort inutiles d’êtres sensibles?
- Par habitude Que la majorité des gens le fasse depuis longtemps et trouve ça normal ne justifie aucune injustice ou acte criminel. Par exemple, les femmes n’ont pas toujours eu le droit de voter; On a déjà eu le droit de fumer partout. Nous évoluons !
- Parce que c’est légal « Légalité » n’est aucunement synonyme de « moralité ». L’esclavage a déjà été légal.
- Parce que l’économie Il ne nous viendrait pas à l’esprit, aujourd’hui, qu’il eût fallut se dire « Mais les nazis vont perdre leurs emplois. » ou « Mais si on libère les esclaves, l’économie va s’en ressentir. »
- Parce que Dieu : Un Dieu bon ne permettrait jamais de telles atrocités sur des êtres sensibles.
- Pour la santé : Nous n’avons pas besoin de produits d'animaux pour être en excellente santé. Les plus grands organismes de santé s’entendent pour dire qu’un régime végétalien est sain à tout âge. De plus, de nombreuses études tendent même à montrer que les végétaliens (personnes qui ne mangent que des produits d'origine végétale) vivraient en moyenne plus longtemps que ceux qui consomment de la viande.
- Parce que c’est trop dispendieux : À moins de consommer des produits sur-transformés, une alimentation végétalienne est moins couteuse qu’une alimentation omnivore.
VA (veganimaliste.com)
Rester à l'affut de nouvelles données.
Anonymous For The Voiceless
Il n'y a pas de honte à ne nous être jamais tout à fait interrogé sur certaines idées que nous tenons pour réalité. Si nous n'avons pas eu la chance d'avoir connu ou appris le scepticisme et que nous nous faisons répéter depuis notre enfance par nos parents, la société, voire par le monde entier, certaines idéologies, il peut être plus difficile de les mettre en doute?
À défaut d’embuches sur notre chemin qui nous amènent à réévaluer nos idées acquises et si nous ne sommes pratiquement jamais mis en contact avec d'autres façons d'appréhender la vie, il est facile de ne pas nous demander si notre héritage éducationnel ou culturel tient la route.
Nous pouvons, même, avoir la certitude que nous sommes chanceux d'être né dans la bonne époque et dans la bonne talle de gens qui savent. Se rendre compte que nous avons été dans l'erreur ou qu’on nous a menti pendant une grande partie de notre vie n’est pas agréable, mais il serait dommage, voire néfaste, de ne pas avoir la possibilité ou la volonté d'essayer de croire au plus grand nombre de choses vraies et au plus petit nombre de choses fausses.
Malgré qu'il nous soit évidemment impossible d'avoir une certitude absolue sur tout, il nous est cependant possible, et Internet en facilite l'action, d'acquérir, avec scepticisme, suffisamment d'évidences sur notre monde et d'avoir des références communes qui nous permettent de fonctionner socialement.
Nous devons, pour le bien de tous, en incluant nous-même, être toujours à l'affut de nouvelles données afin d'ajuster notre pensée.
VA (veganimaliste.com)
La Dissonance Cognitive.
La plupart des gens sont réticents à vouloir entendre que leurs habitudes, entre autres alimentaires et vestimentaires, causent énormément de souffrances aux animaux. Ils préfèrent oublier le plus possible ces tortures et le fait d’en être responsable.
Je n’aime pas rendre les gens inconfortables, mais j’ai le devoir de m’informer et de tenter d’informer toutes personnes susceptibles de ne pas avoir fait ce lien : Les animaux ne peuvent pas le faire eux-mêmes, ou plutôt, ils ne sont pas compris ou pas écoutés.
Beaucoup de personnes sont tellement attachées à leur viande (transformée ou pas), œufs et produits laitiers qu’ils ont de la difficulté à s’en départir et cela, même si elles mettent leur santé en péril, que ces produits contiennent des ingrédients douteux ou viennent d'animaux ayant des maladies et bourrés d'antibiotiques.
Nous ne sommes pas tous nécessairement « de mauvaises personnes », mais nous pourrions être victime de ce qu’on appelle la dissonance cognitive.
La dissonance cognitive est la tension interne propre au système de pensées, croyances, émotions et attitudes (cognitions) d'une personne lorsque certaines d'entre elles entrent en contradiction l'une avec l'autre. Le terme désigne également la tension qu'une personne ressent lorsqu'un comportement entre en contradiction avec ses idées ou croyances.
Lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouve un état de tension inconfortable appelé dissonance. Pour réduire cette tension, la personne, par exemple, modifie ses croyances dans le sens de l’acte.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, lorsque nous sommes amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons ainsi tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements plutôt que de changer.
VA (veganimaliste.com)
Véganisme
Le véganisme est le mode de vie des personnes véganes. On déféni aussi le véganisme comme étant une lutte de justice social pour la libération animale. Les animaux sont opprimés et les véganes militent contre leur oppression.
Une personne végane vise à exclure, dans la mesure du possible, toute forme d'exploitation et de cruauté envers les animaux à des fins alimentaires, vestimentaires ou à toute autre fin. Elle a un régime alimentaire à base de plantes, évitant tous les aliments d'origine animale (mammifères, poissons, crustacés, insectes), ou leurs sécrétions (produits laitiers, les œufs, le miel). Elle n’utilise pas, non plus, les matériaux d'origine animale (laine, soie, cire d'abeilles, os, ivoire, cornes), les produits testés sur les animaux et ne participe pas aux activités qui implique l'utilisation des animaux pour les loisirs ou les divertissements (zoo, cirque, aquarium, corrida, chasse, photo avec animal sauvage, etc.).